Il faut savoir soutenir l’artisanat local et aussi accroitre ses connaissances.
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Afin d’étancher notre soif de connaissances,
nous avons donc visité une rhumerie.
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Reconnaissez que l’entrée évoque davantage un temple
qu’une distillerie.
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Une jeune guide rigolote et dynamique
nous a exposé tambour battant le processus de fabrication
à partir de la canne à sucre qui subit un traitement que je n’imposerais pas à mon pire ennemi :
elle est coupée, hachée, pressurée, broyée, distillée…
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Je ne vous infligerai pas toutes les photos prises
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mais avouez que ce film du début de la visite peut donner matière à quelques inquiétudes.
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Cela va déjà mieux
lorsque, après avoir gravi un escalier,
nous arrivons aux cuves du premier jus.
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Mais avec ces senteurs, il est déjà préférable de ne pas s’attarder
si on veut redescendre l’escalier avec une réponse positive
à la question : « l’ai-je bien descendu? ».
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La distillation…
Colonnes et cuves dans lesquelles les recettes secrètes et les miracles s’élaborent…
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Sachant tout à présent sur la fabrication du rhum,
nous suivons docilement le flot de dégustateurs
soucieux de vérifier la qualité du produit fini.
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La dégustation concerne quatre produits d’âges et de qualités différents.
Nous nous sommes dévoués ainsi que de nombreux autres visiteurs
pour effectuer bénévolement un test comparatif .
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L’endroit est joliment décoré, n’est-ce pas?
Cela pourrait me donner des idées pour le jardin.
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Nous en avons acheté et si vous voulez mon opinion…
Vous voulez mon opinion, n’est-ce pas?
Eh bien, nous ne le regrettons pas.
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Déc16
Cet article a été posté
le dimanche, 16 décembre, 2012 à 18 h 50 min
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